Initiatives publiques
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Dimanche 3 mars à Mantes-la-Jolie
Votre Union Locale CGT de la région Mantaise vous informe et de vous invite à l’hommage que nous allons rendre « aux Manouchian » à l’occasion de l’entrée au Panthéon de Missak et Mélinée le 21 février dernier.
Il y a 80 ans, le 21 février 1944, 23 résistants étaient fusillés au Mont Valérien par les occupants nazis : MISSAK et 22 autres camarades, Arméniens, Français, Polonais, Hongrois, Italiens, Roumains, Apatrides, croyants ou non.
80 ans après, nous rendrons hommage à La Résistance contre l’envahisseur nazi, qui fut aussi le fait d’immigrés à qui on avait refusé la nationalité française.
C’est la raison pour laquelle L’Union Locale CGT avec les sections du PCF de notre région (Limay, Mantes-la-Jolie, Mantois), l’ANACR (Association Nationale des Anciens Combattants et Amis de La Résistance) et Mémoire d’Aincourt, vous invitent à participer à :
L’HOMMAGE A MANOUCHIAN MISSAK ET MELINEE,
DIMANCHE 3 MARS 2024 A 10H30
STELE DE LA RESISTANCE
Place du 8 mai 1945
MANTES LA JOLIE
Fraternellement, l’UL CGT de Mantes
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Meeting pour la paix en Palestine 26 février 20h30 à l'UD de Trappes
En présence des Présidents de l’UJFP et de l’AFPS et sous réserve de Madame l’Ambassadeur de Palestine en France.
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Trois mois de massacres contre la population de Gaza : c’est un crime contre toute l’Humanité qui continue sous nos yeux.
C’est une guerre atroce et criminelle que l’État d’Israël mène depuis plus de trois mois contre la population palestinienne de Gaza. Ce sont aujourd’hui 23.000 morts qui ont été répertoriés, dont plus de 70% de femmes et d’enfants, 59.000 blessés, 8.000 disparus.
Des centaines de familles ont été anéanties, plus de 100 journalistes et plus de 300 médecins et travailleurs de la santé ont été tués.
85% de la population a été forcée de quitter son logement.
La population est dans une insécurité totale, entassée dans des tentes ou des abris de fortune, soumise à des bombardements incessants, et privée d’eau, de nourriture, de médicaments, d’électricité et de carburants. De plus en plus d’organisations et d’experts internationaux font état d’un génocide en cours.
La Cour Internationale de Justice, saisie par l’Afrique du Sud, examine en urgence les crimes de guerre, crimes contre l’humanité et crimes de génocide commis par l’État d’Israël contre la population palestinienne de Gaza, et les moyens d’y mettre fin. D’autres États s’y sont joints.
Après 9 rassemblements et marches dans les Yvelines, les organisations signataires appellent à une manifestation départementale unitaire pour :
- Un cessez le feu total, immédiat et permanent !
- Arrêt définitif de la guerre contre le peuple palestinien et des déplacements forcés de la population !
- Levée immédiate, complète et durable du blocus de Gaza !
- Protection du peuple palestinien à Gaza et en Cisjordanie !
- Arrêt immédiat de toute coopération militaire, sanctions contre Israël !
Une paix juste et durable ne sera possible que dans le cadre de la reconnaissance des droits du peuple palestinien, et notamment de son droit à l’autodétermination.
Elle implique le démantèlement des colonies et la fin de l’occupation israélienne, ainsi que le respect de l’ensemble des résolutions de l’ONU, y compris la résolution 194 qui prévoit le droit au retour des réfugiés.
VENDREDI 19 JANVIER 2024
18H30 → MAIRIE DE LIMAY
MARCHE AUX FLAMBEAUX EN DIRECTION DE LA MAIRIE DE MANTES-LA-JOLIE
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LIMAY
Rencontre débat – Lundi 15 janvier à 20H
Salle Christiane Faure, Limay
Alors que l’extrême droite cherche à se normaliser, que le gouvernement vote main dans la main avec le RN des lois qui ouvrent la voie à la préférence nationale, la remise en cause du droit du sol et autres obsessions racistes, nous, travailleurs et travailleuses, ne pouvons rester sans réagir.
Au-delà des débats politiques, les idées d’extrême droite infusent dans la société, et en particulier dans le monde du travail. Discriminations, relégation sociale, cantonnement aux emplois les plus pénibles et les moins rémunérés, c’est toute l’organisation du travail mais aussi le collectif des travailleurs lui-même qui est mis à mal par cette vision rance portée par l’extrême droite.
Face à ce constat, il existe des solutions, des combats à mener collectivement. Pour échanger sur cette lutte primordial, l’intersyndicale du Mantois vous propose une soirée rencontre débat, en partenariat avec Vigilance et Initiatives Syndicales Antifascistes.
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VERSAILLES.
Plus de 400 manifestants vendredi 15 décembre dans les rues de Versailles venues exiger un cessez le feu immédiat et une paix juste et durable en Palestine à l'appel d'un collectif intersyndical, interassociatif et partis politiques.
Un cortege haut en couleurs, en lumières et avec des slogans pacifistes.
Tant que les bombes continueront à tomber, nous continuerons à manifester, à porter une voix de paix.
Rendez ce dimanche à Paris 14h place de la République.
Vive le cessez le feu immédiat.
Vive la PAIX
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Le 12 décembre à Bruxelles
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Toute la matinée du 12 décembre, les militants de l'Union locale se sont relayés pour s'adresser aux salariés de la zone commerciale "Mon beau Buchelay".
Leur but: permettre aux salariés de s'informer sur leurs droits et de les défendre individuellement ou collectivement.
3 adhésions étaient enregistrées par les camarades à la mi journée.
La CGT a vocation de défendre les intérêts individuels et collectifs des salariés. Dans un contexte de recherche de « réduction du coût du travail », nous constatons que nous n’avons pas les mêmes intérêts que nos employeurs. Nous pensons que si nous prenons nos affaires en main, nous pouvons faire changer les choses. Dans beaucoup de services ou d’entreprises, l’action collective a permis des avancées en matière de salaires, de conditions de travail, de lutte contre la précarité… Force est de constater que plus les syndiqués sont nombreux, plus l’ensemble des préoccupations sont embrassées par le syndicat, c’est-à-dire les syndiqués pris collectivement.
Individuellement et collectivement, nous faisons valoir nos droits (Code du travail, convention collective, accords d’entreprise, contrat de travail…). En outre, le syndiqué a le droit à des informations particulières (presses syndicales, informations juridiques, assistance…). Nous proposons également des formations syndicales dont les objectifs sont de faciliter la compréhension des sujets économiques et sociaux. Il s’agit aussi d’aider tout syndiqué à se doter des compétences lui permettant de faciliter son investissement dans l’activité syndicale et donc la prise de responsabilité. Être syndiqué, c’est aussi et surtout être acteur de l’amélioration des conditions de travail et de vie au travail..
Être syndiqué, c’est apporter ses connaissances, ses compétences au collectif. Tu prendras la place que tu auras envie de prendre, avec le degré d’investissement qui sera le tien. Tous les salariés ont leur place dans le syndicat. Chacun compte pour un et ce sont les adhérents qui décident dans le respect de la démocratie et des statuts de l’organisation.
Le système de cotisations repose sur un principe de financement nécessaire pour se donner les moyens de l’action collective. La cotisation sert à l’expression et au fonctionnement de l’organisation (tracts, affiches, formations syndicales, réunions…). Elle contribue au financement solidaire de la CGT à travers ses organisations à tous les niveaux, ainsi qu’à la solidarité avec des secteurs en lutte. Enfin, elle participe de l’indépendance de la CGT vis-à-vis des partis politiques, de l’État ou de groupes de pression. La cotisation représente 1 % de la rémunération nette. Elle est déductible à 66 % des impôt et donne un crédit d'impôt restituable pour les personnes non imposables.
L’adhésion à une organisation syndicale est une démarche individuelle et confidentielle. En aucun cas, la CGT ne communique ni ne transmet les informations sur ses adhérents.
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150 à Poissy
Lundi 11 décembre, ce sont plus de 150 salariés de Poissy et des environs soutenus par des camarades venus de Conflans, Mantes-la-Jolie et même d'Aubervilliers qui ont fait entendre leur détermination sous les fenêtres de l'Hôtel de Ville où se tenait une séance du Conseil municipal.
Une nouvelle fois l'Union locale CGT a demandé audience au Maire qui n'a toujours pas répondu.
Le secrétaire général de l'Union départementale des Yvelines a, pour sa part, dénoncé les atteintes au droit syndical qui se multiplient partout en France citant notamment 20 secrétaires d'unions départementales CGT et 1.000 militants de la CGT poursuivis actuellement en justice.
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Pour la paix
Après la manifestation de ce vendredi 1er décembre à Trappes et plus de 400 personnes exigeant une paix juste et durable et un cessez-le-feu immédiat, le combat continue.
une nouvelle manifestation est en cours de préparation pour le 15 décembre à Versailles.
Tant que les armes ne se tairont pas,
Nous continuerons à exiger fortement un cessez-le-feu immédiat et une paix juste et durable !
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Faisons entendre nos revendications !
C’est à l’Europe néo-libérale que nous nous opposons et c’est une autre Europe que nous voulons, pour que le contenu social, économique et écologique de la construction européenne réponde aux besoins et aspirations du monde du travail, sur la base de la coopération et non pas de la mise en concurrence généralisée.
La Cgt est particulièrement inquiète de la progression des forces d’extrême droite en Europe, fruit de la désespérance sociale née des politiques néolibérales de casse des droits sociaux, comme le PLFSS, d’attaque des services publics, de la non-réponse aux besoins des populations et des inégalités croissantes.
Faisons entendre les revendications du monde du travail :
- hausse des salaires,
- égalité femmes/ hommes,
- refus des politiques d’austérité en France et en Europe !
Participons massivement à l’euromanifestation du 12 décembre 2023 à Bruxelles !
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400 personnes à Trappes
Ce sont plusieurs centaines de salariés dont de nombreux jeunes qui ont allumé les flambeaux de la paix le vendredi 1° décembre à Trappes.
Vous en trouverez ci-dessous quelques photos prises par nos camarades.
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Lundi 11 décembre, soyons nombreux avec nos camarades de Poissy devant l'Hôtel de Ville.
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Vendredi 1° décembre à Trappes
A l'appel de 19 organisations, l' Union départementale CGT vous invite à participer à une marche aux flambeaux le vendredi 1° décembre à 18h30 à Trappes de la Place des Merisiers à la gare de Trappes.
Nous vous proposons de marcher pour:
- Un cessez-le-feu définitif et la levée du blocus
- Une paix juste et durable entre Israéliens et Palestiniens dans le respect du droit international
- La protection de toutes les populations civiles
- La libération des otages et prisonniers
- L'autodétermination du peuple palestinien.
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Samedi 25 novembre, tôt le matin les militants étaient "sur le pont" pour préparer leur stand qui a accueilli toute la journée les visiteurs de la foire aux oignons à Mantes-la-Jolie.
A l'occasion de la journée internationale pour les droits des femmes, militantes et militants ont proposé le tract "Stop aux violences sexistes" reprenant les positions de la CGT pendant que chacune et chacun pouvait s'informer de ses droits, se renseigner pour s'organiser avec le syndicat ou adhérer à la CGT.
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Mercredi 15 novembre 2023, 250 manifestants se sont rassemblés, en présence de Sophie Binet secrétaire générale de la CGT, devant Renault Flins pour dénoncer la casse de l’emploi et la stratégie industrielle de Renault.
Renault Flins : un site de production sacrifié
Après 70 années dédiées à l’assemblage de véhicule pour la marque au losange, la direction prévoit, l’arrêt de la production le 30 mars 2024.
Seules de nouvelles activités comme le recyclage des véhicules et la poursuite de l’emboutissage vont se poursuivre sur le site des Yvelines. Les salarié·es sont inquièt·es pour leur emplois. Les terrains vont être vendu à la découpe et le maintien des activités proposées sont loin d’avoir fait leurs preuves sur d’autres site.
Cette décision s’inscrit dans le cadre d’une restructuration de l’ensemble du groupe Renault que la direction vient de découper en plusieurs entités (Horse, Ampère…).
Pour Sophie Binet, Flins symbolise le scandale de la situation du secteur automobile. Ce qui motive cette fermeture, et de bien d’autres ce n’est pas la baisse des ventes ou des marges.
Les groupes privilégient uniquement les modèles permettant de faire le plus de marge au détriment de ceux qui répondent aux besoins sociaux et environnementaux. La preuve : à Flins, ce n’est pas un véhicule thermique dont on arrête la production, mais un véhicule électrique, la Zoé, dont la fabrication va être délocalisée.
La fin du véhicule thermique est un prétexte pour les constructeurs. Car à Flins, la fin de la production de la Zoé n’aurait jamais dû avoir lieu sans un nouveau projet de production de véhicule électrique ou à énergie décarbonée, seule capable de maintenir un haut niveau d’emploi et de garanties collectives.
La direction a annoncé la fabrication de la Twingo électrique, à moins de 20 000 euros, en Slovénie. Pourtant, lors de la création de l’entité Ampère la direction avait annoncé que les véhicules électriques Renault resteraient sur le territoire français. Le PDG de Renault a sorti l’argument du coût de la main d’œuvre française pour revenir sur ses promesses.
Pourtant, il est possible de produire en France, des véhicules populaires vendus à des prix accessibles. Par exemple, les ingénieurs de Renault, comme ceux de Stellantis, ont élaboré des projets de petits véhicules électriques produits en France et commercialisable à moins de 15 000 euros. Projets qui ne sont jamais sortis des cartons car considérés comme pas assez rentables.
Le gouvernement doit contraindre les constructeurs français, Renault et Stellantis, à investir en France pour y localiser la production et la recherche de l’ensemble des futurs véhicules électriques et à énergie décarbonée.
C’est ce qui se passe au Japon, où le gouvernement a imposé à Renault Nissan de produire sur le territoire japonais un véhicule électrique vendu 17 000 euros.
Face à cet enjeu et la casse organisée de notre industrie, la CGT s’appuie sur les propositions des salariés à partir de situations concrètes, notamment là où l’emploi et les sites industriels sont menacés ou susceptibles de l’être.
Ainsi, les organisations CGT sont engagées dans plusieurs batailles pour l’emploi et l’industrie comme à la Centrale de Gardanne, Clestra, Valdunes, la Chapelle Darblay, le projet de véhicule électrique en lien avec l’avenir de la SAM et de MMTB (ex-magna), etc…
Depuis plusieurs décennies, la France a abandonné sa politique industrielle au profit des multinationales, qui ont obtenus des milliards d’aides publiques sans contreparties ( mettre lien avec guide aides publiques).
Ce choix creuse les déficits commerciaux et fait disparaitre des savoirs faire qui pourraient être des points d’appui aux innovations.
- Les propositions de la CGT
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La CGT ne cesse d’alerter sur la nécessité d’en finir avec cette stratégie du chèque en blanc aux multinationales et porte 5 propositions pour changer la donne :
- L’emploi et les garanties collectives des travailleuses et travailleurs doivent être sécurisés et garantis par la mise en place d’une sécurité sociale professionnelle.
- Les aides publiques aux entreprises doivent toutes être conditionnées à des objectifs sociaux et environnementaux. La CGT propose un avis conforme sur les aides publiques. Comme elle propose également un avis conforme du CSE et un droit d’expertise sur les conséquences environnementales des activités de l’entreprise sur l’environnement et la biodiversité.
- Réaliser un bilan des privatisations et un bilan de la stratégie financière de l’Etat via la BPI, la CDC ou encore l’APE et recréer de vrais pôles publics industriels et énergétiques avec des objectifs environnementaux et sociaux incluant bien entendu le développement des territoires.
- Promouvoir dans la commande et les investissements publics des normes contraignantes en matière de localisation des productions, de respect des normes sociales, fiscales et environnementales, en commençant par interdire le fait qu’il y a plus d’un niveau de sous-traitance.
- Associer en amont sur tous les projets qui ont un impact sur leurs activités les collectivités, les syndicats, les représentants des entreprises sous-traitantes, comme les syndicats d’entreprises et avoir une voix dans les CA. La CGT propose, par exemple, lors des restructurations, de leur donner un droit prioritaire d’examen des propositions alternatives qui n’existe pas aujourd’hui.